WWF, la caution écolo de BORALEX soutient la chasse aux ours blancs canadiens et les exactions contre les peuplades pygmées du cameroun

WWF FRANCE, la caution écolo payée par la multinationale canadienne BORALEX qui vient saccager nos territoires du Haut-Buëch (voir notre article du 15/02/2014) est bien dans la continuité de sa maison mère le WWF.

Le site notre-planete.info vient à nouveau d'épingler l'ONG affairiste à propos de son soutien aux milices camerounaises qui commettent de grave exactions contre les populations pygmées baka du sud-est du pays.

Le même site notre-planete.info avait déjà rapporté "l'étrange" position du WWF cautionnant un loisir en plein essor : la chasse aux ours blancs du Canada (600 ours polaires massacrés chaque année) et s'opposant à leur protection par l'inscription à l'annexe I de la convention CITES (Convention sur le Commerce International des Espèces Sauvages  menacées d'Extinction).

Cette ONG au budget colossal et à la dette du même ordre de grandeur n'est plus qu'une usine à fric, dirigée par des affairistes (voir article de Marianne COUP DE BAMBOU SUR LE PANDA du 24/05/2014). Elle n'a pas manqué son mariage avec BORALEX : derrière la façade de l'environnement durable et de l'écologie; ils ne sont là que pour le fric. Qui se ressemble s'assemble !

WWF FRANCE, dirigée par Philippe GERMA, frère jumeau de Jean-Michel, pionnier de l'éolien et fondateur de la Compagnie du vent, n'a qu'une obsession : faire de l'argent en vendant son label. Comme le rapporte Le Figaro ( le WWF voudrait apposer son logo sur les produits les plus consommés) la marque au panda fait feu de tous bois : après coca-cola (on parle de 2 millions de dollars), Bouygues, Monsanto, pour ne citer que ceux là, ont également fait un chèque. Dans son article, Le Figaro précise qu'il n'y a pas moins de 1985 entreprises "partenaires" de WWF.

Notre association avait réagi en 2013 concernant ce mariage apparemment contre nature entre BORALEX et WWF FRANCE. En réponse nous avions reçu ce courrier du siège parisien (16ème arrondissement) à mi-chemin entre le poncif écolo sur le réchauffement climatique ( WWF ignore sans doute que les éoliennes, BORALEX comme les autres, ne fabriquent de l'électricité en moyenne qu'un jour sur quatre, et qu'il faudra construire des centrales  à gaz émettrices de Co² pour compenser la fermeture des centrales nucléaires) et la langue de bois ("la plus grande vigilance à l'égard des effets induits, le recul des terres agricoles, la préservation de la biodiversité, la concertation avec les riverains ...")

Les citoyens du Haut-Buëch, quand ils recevront la prochaine publicité  de BORALEX dans leur boîte aux lettres, sauront à quoi s'en tenir!